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Fin des voitures thermiques en 2035 : le ministre Marc Ferracci et la PFA réaffirment la transition 100% électrique

Roulerons-nous tous en voitures électriques d’ici 2035 ? Alors que l’échéance de la fin des moteurs thermiques approche, une révolution silencieuse se prépare, transformant nos habitudes de mobilité. Portée par une volonté politique forte, incarnée par le ministre Marc Ferracci et la Plateforme Automobile (PFA), la transition vers une mobilité électrique s’accélère, malgré les remises en question exprimées lors du vote de l’Assemblée Nationale. Face aux enjeux climatiques et aux nouvelles réglementations, comme celles impulsées par la Loi LOM, comment les entreprises adaptent-elles leur flotte automobile, et où en est le déploiement des bornes de recharge indispensables à cette mutation ?

 

Cet article explore les défis et les opportunités qui se présentent aux particuliers et aux professionnels, les aides financières disponibles et les perspectives d’avenir pour une mobilité plus durable.

Table des matières

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Prix catalogue

46 950 €

(hors bonus)

LLD à partir de

492 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 478 km

Accélération (0 à 100 km/h): 8.6 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 30 min

XPENG G6 RWD Standard Range

Prix catalogue

42 990 €

(hors bonus)

LLD à partir de

570 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 435 km

Accélération (0 à 100 km/h): 6.9 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 21 min

Cupra Tavascan VZ

Prix catalogue

46 990 €

(hors bonus)

LLD à partir de

602 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 517 km

Accélération (0 à 100 km/h): 5.6 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 28 min

VinFast VF 8 Plus Extended Range

Prix catalogue

51 490 €

(hors bonus)

LLD à partir de

473 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 447 km

Accélération (0 à 100 km/h): 5.5 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 32 min

FEST E-BOX M 60 kW

Prix catalogue

34 200 €

(hors bonus)

LLD à partir de

359 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 270 km

Accélération (0 à 100 km/h): 6.8 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 45 min

fiat e ducato profil

Fiat E-Ducato 79 kWh

Prix catalogue

63 240 €

(hors bonus)

LLD à partir de

988 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 283 km

Charge rapide (de 20 à 80%) : 78 min

fiat e scudo profil

Fiat E-Scudo 50 kWh

Prix catalogue

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(hors bonus)

LLD à partir de

645 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 220 km

Accélération (0 à 100 km/h): 12.1 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 26 min

mercedes esprinter fourgon gris

Mercedes eSprinter Fourgon 35 kWh

Prix catalogue

75 972 €

(hors bonus)

LLD à partir de

655 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 153 km

Accélération (0 à 100 km/h): 11 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 26 min

Hyundai Inster Standard Range

Prix catalogue

25 000 €

(hors bonus)

LLD à partir de

332 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 300 km

Accélération (0 à 100 km/h): 11.7 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 29 min

Opel Frontera 44 kWh

Prix catalogue

29 000 €

(hors bonus)

LLD à partir de

491 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 305 km

Accélération (0 à 100 km/h): 12.1 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 32 min

Alpine A290 Electric 180 hp

Prix catalogue

38 700 €

(hors bonus)

LLD à partir de

630 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 380 km

Accélération (0 à 100 km/h): 7.4 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 33 min

Fiat Grande Panda 44 kWh

Prix catalogue

24 900 €

(hors bonus)

LLD à partir de

430 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 320 km

Accélération (0 à 100 km/h): 12 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 32 min

BMW i5 Touring eDrive40

Prix catalogue

Faire une demande

(hors bonus)

LLD à partir de

890 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 560 km

Accélération (0 à 100 km/h): 6.1 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 26 min

Tesla Model 3 Grande Autonomie Propulsion

Prix catalogue

44 990 €

(hors bonus)

LLD à partir de

661 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 702 km

Accélération (0 à 100 km/h): 5.3 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 20 min

Mercedes EQE 300

Prix catalogue

69 900 €

(hors bonus)

LLD à partir de

Faire une demande

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 647 km

Accélération (0 à 100 km/h): 7.3 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 33 min

Tesla Model 3 Propulsion

Prix catalogue

39 990 €

(hors bonus)

LLD à partir de

590 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 513 km

Accélération (0 à 100 km/h): 6.1 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 25 min

Citroën ë-C4 54 kWh

Prix catalogue

35 800 €

(hors bonus)

LLD à partir de

Faire une demande

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 415 km

Accélération (0 à 100 km/h): 10 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 29 min

Volvo EX30 Single Motor ER

Prix catalogue

43 300 €

(hors bonus)

LLD à partir de

522 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 480 km

Accélération (0 à 100 km/h): 5.3 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 28 min

Volkswagen iD.3 Pro S

Prix catalogue

42 990 €

(hors bonus)

LLD à partir de

Faire une demande

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 549 km

Accélération (0 à 100 km/h): 7.9 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 30 min

Volkswagen iD.3 Pro

Prix catalogue

39 990 €

(hors bonus)

LLD à partir de

610 €

Par mois, sans apport pour les professionnels

Autonomie (WLTP) : 426 km

Accélération (0 à 100 km/h): 9.6 sec

Charge rapide (de 20 à 80%) : 31 min

Fin des voitures thermiques en 2035 : une transition réaffirmée vers le 100 % électrique

L’Union européenne a décidé d’interdire la vente de voitures thermiques neuves à partir de 2035. Cette mesure vise principalement les véhicules essence, diesel et hybrides, qui émettent du CO2 en roulant. Toutefois, cette interdiction ne signifie pas que toutes les voitures devront être électriques : des alternatives comme les véhicules fonctionnant à l’hydrogène, aux biocarburants ou aux carburants de synthèse pourront continuer à être commercialisées. Les voitures thermiques déjà en circulation ne seront pas interdites, mais leur nombre diminuera progressivement grâce au renouvellement naturel du parc automobile.

Que prévoit exactement l’interdiction des voitures thermiques en 2035 ?

Cette interdiction concerne uniquement la vente de véhicules légers neufs émettant du CO2. À partir du 1er janvier 2035, seuls les véhicules « zéro émission » pourront être commercialisés dans l’Union européenne. Cela inclut principalement les voitures électriques, mais aussi celles utilisant des technologies alternatives comme l’hydrogène. 

 

Les voitures thermiques déjà en circulation pourront continuer à rouler et être revendues sur le marché de l’occasion. Cette décision est accompagnée d’une clause de révision prévue pour 2026 afin d’évaluer la faisabilité de l’objectif et d’ajuster les mesures si nécessaire.

Quels sont les objectifs climatiques et économiques derrière cette décision ?

L’interdiction des voitures thermiques s’inscrit dans une stratégie globale de lutte contre le changement climatique et de décarbonation des transports. Le secteur automobile est responsable d’une part importante des émissions de gaz à effet de serre. L’objectif est donc de réduire ces émissions pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. 

 

Sur le plan économique, cette transition vise également à stimuler l’innovation technologique et à développer un marché compétitif pour les véhicules électriques tout en réduisant la dépendance aux énergies fossiles. De plus, cette mesure pourrait améliorer la qualité de l’air en milieu urbain et réduire les nuisances sonores liées aux moteurs thermiques.

Marc Ferracci et la PFA réaffirment l’accélération vers l’électrique

marc ferraci pfa

Le ministre de l’Industrie, Marc Ferracci, et la Plateforme Automobile (PFA) ont récemment réitéré leur engagement envers la transition vers une mobilité 100 % électrique d’ici 2035. Lors d’une rencontre, ils ont souligné que malgré certains assouplissements européens sur les objectifs de réduction des émissions de CO2, la trajectoire fixée reste inchangée. Cette collaboration vise à renforcer le soutien à l’industrie automobile française tout en maintenant sa compétitivité face aux défis internationaux.

Quelle est la position du ministre Marc Ferracci sur cette transition ?

Marc Ferracci défend fermement la transition vers l’électrique comme une opportunité stratégique pour l’industrie française. Il insiste sur l’importance d’accompagner les acteurs du secteur dans cette mutation, notamment via le plan France 2030 et des initiatives européennes. Il met également en avant les flexibilités obtenues au niveau européen pour réduire les pénalités financières liées aux émissions sans compromettre l’objectif de 2035. Pour lui, cette transition doit s’inscrire dans une dynamique économique et sociale équilibrée, en soutenant à la fois les entreprises et les salariés.

Quel rôle joue la Plateforme Automobile (PFA) dans l’accompagnement du secteur ?

La PFA joue un rôle central dans la structuration et le soutien de la filière automobile française. Elle regroupe plus de 4 000 entreprises du secteur et coordonne des stratégies communes en matière d’innovation, de compétitivité et d’emploi. En partenariat avec des acteurs publics et privés, elle accompagne les entreprises dans leur adaptation aux nouvelles exigences technologiques, telles que le développement des véhicules électriques et le recyclage des batteries. La PFA participe également à des initiatives comme le plan France 2030 pour moderniser l’industrie et renforcer son attractivité face à une concurrence internationale accrue.

Interdiction des véhicules thermiques en 2035 : l’Assemblée Nationale rejette la proposition

Le 17 février 2025, l’Assemblée Nationale française a rejeté l’inscription dans le droit national de l’interdiction de la vente de véhicules thermiques neufs à partir de 2035, une mesure pourtant adoptée au niveau européen. Ce vote serré, avec 34 voix contre et 30 pour, reflète une opposition croissante à cette échéance jugée trop rapide et coûteuse. Les députés opposés, majoritairement issus du Rassemblement National et de certains Républicains, ont mis en avant le coût élevé des véhicules électriques pour les ménages modestes et les défis auxquels fait face l’industrie automobile européenne, notamment la concurrence chinoise. 

 

Bien que ce rejet n’annule pas l’obligation pour la France de respecter la directive européenne en vertu de la primauté du droit européen, il illustre une résistance politique et sociale face à une transition perçue comme imposée et précipitée. Le texte doit désormais être examiné par le Sénat, où le gouvernement pourrait tenter de réintroduire cette mesure.

Un cadre réglementaire strict : les lois qui encadrent cette transition

Que dit la loi européenne sur la fin des ventes de voitures thermiques en 2035 ?

La loi européenne adoptée en 2023 prévoit l’interdiction de la vente de voitures neuves équipées de moteurs thermiques (essence, diesel ou hybrides) à partir de 2035. Cette réglementation impose aux constructeurs automobiles de réduire à zéro les émissions de CO₂ des véhicules neufs mis sur le marché.

Toutefois, des exceptions ont été accordées pour certains petits constructeurs et pour les véhicules utilisant des carburants synthétiques, afin de laisser le temps à la filière de s’adapter. Cette mesure vise à accélérer la transition énergétique tout en harmonisant les règles au sein des États membres.

Quel impact de la loi sur les émissions de CO₂ pour les constructeurs et les consommateurs ?

Le règlement « CAFE » (Corporate Average Fuel Economy) impose aux constructeurs une réduction progressive des émissions moyennes de CO₂ par véhicule vendu. En 2025, le seuil est fixé à 93,6 grammes par kilomètre, avec des pénalités financières élevées (95 euros par gramme excédentaire) en cas de non-respect. Les constructeurs doivent donc augmenter la part des véhicules électriques dans leurs ventes pour éviter ces sanctions.

Pour les consommateurs, cela pourrait entraîner une hausse des prix des véhicules thermiques restants et une incitation à se tourner vers des modèles électriques, dont le coût d’achat est souvent compensé par des aides financières.

Comment le bonus écologique accompagne-t-il le passage à l’électrique ?

En 2025, le bonus écologique reste un levier essentiel pour encourager les particuliers à adopter des véhicules électriques ou à hydrogène. Cette aide est attribuée pour l’achat ou la location longue durée (plus de deux ans) de voitures neuves émettant peu ou pas de CO₂, sous réserve que leur prix n’excède pas 47 000 € et que leur poids soit inférieur à 2,4 tonnes. Le montant du bonus dépend du revenu fiscal de référence (RFR) par part du ménage : 

 

– 4 000 € pour les ménages dont le RFR est inférieur ou égal à 16 300 € ;

– 3 000 € pour un RFR compris entre 16 301 € et 26 200 € ;

– 2 000 € pour un RFR supérieur à 26 200 €.

 

Une majoration de 1 000 € est prévue pour les habitants des départements d’Outre-mer afin de faciliter l’accès aux véhicules propres dans ces régions.

 

Cependant, depuis décembre 2024, le bonus écologique ne s’applique plus aux professionnels pour les voitures particulières. Il est désormais réservé exclusivement aux particuliers, bien que des mécanismes spécifiques puissent encore exister pour certains véhicules utilitaires légers ou hydrogène dans des conditions précises. 

 

Ce recentrage vise à concentrer les aides sur les ménages qui en ont le plus besoin et à soutenir une transition équitable vers la mobilité électrique.

Les impacts de la fin des voitures thermiques sur l’industrie automobile

La décision d’interdire la vente de voitures thermiques neuves en Europe à partir de 2035 aura des conséquences majeures sur l’industrie automobile. Cette transition représente un défi considérable pour les constructeurs, qui doivent investir massivement dans le développement de véhicules électriques tout en gérant la baisse progressive de la production de moteurs thermiques. L’impact sur l’emploi pourrait être significatif, avec des risques de fermetures d’usines et de licenciements, notamment dans les secteurs liés à la production de moteurs thermiques. Cependant, cette transition offre également des opportunités pour l’innovation et le développement de nouvelles technologies.

Comment les constructeurs français et européens s’adaptent-ils à cette échéance ?

Les constructeurs européens intensifient leurs efforts pour développer des gammes de véhicules électriques compétitives. Ils investissent massivement dans la recherche et le développement de batteries plus performantes et dans l’adaptation de leurs chaînes de production. 

 

Toutefois, ils font face à des défis importants, notamment la concurrence des constructeurs chinois et la nécessité de proposer des modèles électriques abordables.

Les défis et opportunités pour les entreprises et les particuliers

Quels changements pour les professionnels de l’automobile et les flottes d’entreprise ?

Les entreprises, notamment celles disposant de grandes flottes, doivent s’adapter aux nouvelles obligations imposées par la loi. Par exemple, la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) impose aux entreprises ayant plus de 100 véhicules de renouveler progressivement leur parc avec des modèles à faibles émissions (moins de 50 g CO₂/km), atteignant 50 % d’ici 2030. Ces obligations s’accompagnent de sanctions financières, comme des amendes allant jusqu’à 5 000 € par véhicule non conforme dès 2027.

 

Pour répondre à ces exigences, les entreprises investissent dans l’électrification de leurs flottes. Cela implique non seulement l’achat de véhicules électriques mais aussi l’installation de bornes de recharge sur leurs sites. Les défis incluent la gestion de l’autonomie des véhicules électriques, l’optimisation des temps de recharge et la formation des gestionnaires de flotte. Cependant, ces efforts permettent aux entreprises de réduire leurs coûts opérationnels grâce à des économies sur le carburant et l’entretien, tout en renforçant leur image environnementale.

Comment les consommateurs peuvent-ils anticiper cette transition ?

Pour les particuliers, anticiper la fin des voitures thermiques implique une préparation financière et pratique. Ils peuvent profiter du bonus écologique ou de la prime à la conversion pour réduire le coût d’achat des véhicules électriques. En parallèle, il est essentiel d’évaluer ses besoins en autonomie et en recharge afin de choisir un modèle adapté à ses déplacements quotidiens.

 

Les consommateurs doivent également se familiariser avec les infrastructures disponibles. L’installation d’une borne de recharge à domicile ou l’accès à un réseau public dense devient un critère clé pour faciliter cette transition. Enfin, ils peuvent envisager des solutions alternatives comme le rétrofit (conversion d’un véhicule thermique en électrique), bien que cette option reste encore marginale.

 

En somme, bien que la transition vers une mobilité électrique impose des ajustements importants pour tous les acteurs, elle ouvre également la voie à une mobilité plus durable et innovante.

Quelles aides et infrastructures pour accompagner cette mutation ?

Quels dispositifs financiers et incitations pour l’achat d’un véhicule électrique ?

En France, plusieurs aides financières sont disponibles pour encourager l’achat de véhicules électriques :

 

  • Le bonus écologique, dont le montant varie selon le revenu fiscal de référence du ménage, allant de 2 000 € à 4 000 €.

 

  • Un crédit d’impôt couvrant 75% des dépenses d’acquisition et d’installation d’une borne de recharge à domicile, plafonné à 500 €.

 

  • Une TVA réduite à 5,5% pour l’installation et l’entretien des bornes de recharge à domicile.

 

Ces dispositifs visent à rendre les véhicules électriques plus accessibles et à faciliter leur utilisation au quotidien.

Où en est le déploiement des bornes de recharge en France et en Europe ?

Le déploiement des bornes de recharge progresse rapidement en Europe :

 

  • L’Europe dispose désormais de plus de 900 000 points de recharge sur l’ensemble de son territoire.

 

  • La France se classe en 3e position avec 119 481 chargeurs, derrière les Pays-Bas (169 216) et l’Allemagne (152 332).

 

  • Le gouvernement français ambitionne d’atteindre 400 000 points de recharge ouverts au public d’ici 2030, dont 50 000 points à haute puissance.

 

L’Union européenne a fixé un objectif ambitieux : installer une borne électrique d’au moins 400 kW tous les 60 km le long des principales autoroutes européennes d’ici 20263. Cependant, le déploiement reste inégal entre les pays, avec environ 60% des bornes concentrées aux Pays-Bas, en France et en Allemagne.

 

Pour accélérer ce déploiement, des mesures réglementaires ont été mises en place. Par exemple, la loi LOM impose qu’à partir du 1er janvier 2025, tous les bâtiments ouverts au public dotés d’un parking de plus de 20 places devront équiper au moins 5% de ces places de bornes de recharge.

Conclusion

En conclusion, la route vers la fin des voitures thermiques en 2035 est pavée de défis et d’opportunités. Si le ministre Ferracci et la PFA réaffirment leur engagement, les entreprises et les particuliers doivent s’adapter aux nouvelles réglementations, tirer parti des aides financières disponibles et s’approprier les infrastructures en constante évolution. 

 

La Loi LOM impulse cette transition, mais elle nécessite une préparation minutieuse et une compréhension des enjeux techniques et économiques. Alors, prêt à embrasser la mobilité électrique ? Pour un accompagnement personnalisé dans cette transition, depuis le choix de votre véhicule jusqu’à l’installation de bornes de recharge et l’optimisation de votre flotte, n’hésitez pas à contacter Beev pour une transition sereine vers un avenir plus durable.

Image de Imane BENSALAH
Imane BENSALAH

Explorez avec moi la révolution de la mobilité durable à travers mes articles sur les véhicules électriques. Optez pour une conduite écologique et performante en passant à l’électrique. Prêt pour le changement ? Je vous accompagne dans cette transition vers une conduite plus verte !

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